EN CUISINE
Bienvenue dans les coulisses de ce délicieux endroit qui vous emplit les narines et l'estomac d'un doux appétit...
Ici, après avoir sélectionné les plus beaux produits des étals de Rungis pour leur fraîcheur et leur qualité, le chef Jérôme et son équipe de fins cuisiniers s'affairent aux fourneaux à les sublimer.
Ensemble, ils conjuguent le meilleur de leur savoir-faire pour vous offrir dans l'assiette toute la finesse de la gastronomie française à un prix accessible.
Cet amour du produit, enseigné par Bernard Loiseau au jeune Chef Jérôme Gutbrod lorsqu'il faisait ses armes de jeune cuisinier en Bourgogne, reste le mot d'ordre en cuisine.
Car pour Jérôme Gutbrod, l'Amour est : "La Source" de toutes les réussites...
Pour vous satisfaire ...
Rien n'est trop beau. Du homard bleu tout juste livré des étals du marché, des tuiles si fines et si délicatement caramélisées qu'on les croirait nées de la main d'un orfèvre, des fruits de saison infusés avec art pour qu'ils libèrent tous leurs arômes à la cuisson.
Derrière cette valse des délices parfaitement orchestrée, il y a le chef Jérôme Gutbrod, qui doit à sa nature sportive autant qu'à sa passion de la cuisine d'avoir relevé, avec panache et enthousiasme, le défi que de prendre possession de ces clefs chargées d'histoire et de promesses de la Barrière de Clichy.
Jérôme GUTBROD
CHEF CUISINIER
Après un sport étude en football, le dynamique Jérôme Gutbrod est retenu à l'école Hôtelière de Limoges, d'où il sort grandi de son envie d'épouser ce beau métier qu'est la cuisine.
Confucius disait : "Choisissez un métier que vous aimez, vous n'aurez pas à travailler un seul jour de votre vie".
Ainsi soit-il.
Sa carrière démarre chez Jean-Yves Bath "La Bergerie" aujourd'hui rendu célèbre par la médiatisation du vainqueur de "Top Chef" Cyrille Zen à Sarpoil (1 étoile au Guide Michelin) en Auvergne.
Très vite, il y comprend la nécessité d'être à tous les postes durant chaque service pendant un an.
Un exercice au moins aussi sportif que de s'illustrer sur le terrain de football.
Sa soif d'apprendre le conduit ensuite chez Michel Mioche "Hôtel Radio Chamalieres" à Clermont Ferrand (1 étoile au Guide Michelin) où pendant un an il s'investit avec une envie décuplée qui le conduit chez Gérard Anglard "Le Rivalet" à Montaigut le Blanc en Auvergne, référencé au Guide Michelin.
C'est ici qu'il rencontre pour la première fois le Grand Chef, Bernard Loiseau, et qu'il entend ses légendaires mots : "Au Taquet !"
Des mots qui résonneront dans les cuisines tout au long de ces deux belles années, et seront pour Jérôme un moteur incroyable. Des mots qui lui rappellent aujourd'hui encore l'infini respect du produit que lui a enseigné le Maître.
L'aventure de Jérôme se poursuit ensuite sur la Côte d'Azur dans le célèbre Palace "Le Martinez" à Cannes auprès du Chef Christian Willer (2 étoiles au Guide Michelin). Une expérience menée sur les chapeaux de roues qui achèvera de le former à la rapidité d'exécution nécessaire au dressage d'assiettes en grand nombre.
Enfin vient la rencontre avec Claude Verger qui nomme Chef Gérant le jeune Chef Jérôme Gutbrod à "La Villa Dionysos" (Clé d'or au Gault & Millau, référencé au Guide Michelin).
Cette collaboration fructueuse qui durera sept ans, sera pour Jérôme l'occasion de recroiser la route de Bernard Loiseau, ami de Claude Verger... et surtout l'occasion d'un nouveau départ, en solo à la Barrière de Clichy.
"Un beau jour, raconte Jérôme Gutbrod, Claude Verger, le créateur du restaurant "La Barrière de Clichy" me demande d'aller visiter son tout premier restaurant qui était fermé depuis un an, en me disant qu'il me voyait bien m'installer à mon compte à Paris.
J'étais, jeune, fou et inconscient pour relever le challenge à l'époque pour m'installer dans un établissement n'ayant pas vu un seul client depuis tant de temps, et dans un état de délabrement avancé. Mais.!! dans ce lieu magique où circulent ces ondes si positives tout paraissait faisable. Après plusieurs années de travaux, c'est un réel bonheur au quotidien de réaliser son rêve dans cet endroit où Bernard Loiseau avait pour habitude de communiquer sa sympathie avec cet inoubliable large sourire et son regard si tendre. Une empreinte indélébile."